Passage d’un kiosque…
Le premier « kiosque pédagogique », prototype expérimental s’il en est, a vu le jour entre janvier et mars de l’an 2007.Né du constat des difficultés d’accès à la terre, au logement, il porte 10 réponses au réchauffement climatique et à la glaciation sociale, comme autant de moyens d’action pour ceux qui veulent changer la vie quotidienne.Tirée par un tracteur en bicarburation, cette « roulotte -informative » en matériaux de récupération relève le double pari -social et écologique- de ne coûter que 1500 Euros et de répondre aux besoins vitaux d’un individu : se loger, manger, se soigner et se transporter, le plus gratuitement et le plus écologiquement possible.
Avec 12 m² de jardin biologique et de plantes aromatiques et médicinales, l’eau chaude (solaire thermique) et froide (récupération d’eau de pluie, phyto-épuration), les énergies solaires (électricité, séchoir, cuiseur), un poêle à sciure et huile, une culture de spiruline et des graines germées pour les protéines, l’huilerie pour le moteur, les toilettes sèches,… ce kiosque n’est pas une fin en soi, mais un début d’apprentissage de l’autonomie.
Il est un point de rencontres et d’échanges de solutions concrètes, un lieu de convivialité où partagger des savoir-faire face à la destruction progressive de l’écosystème et à la pétrification des rapports sociaux.
Le premier « kiosque pédagogique », prototype expérimental s’il en est, a vu le jour entre janvier et mars de l’an 2007.Né du constat des difficultés d’accès à la terre, au logement, il porte 10 réponses au réchauffement climatique et à la glaciation sociale, comme autant de moyens d’action pour ceux qui veulent changer la vie quotidienne.Tirée par un tracteur en bicarburation, cette « roulotte -informative » en matériaux de récupération relève le double pari -social et écologique- de ne coûter que 1500 Euros et de répondre aux besoins vitaux d’un individu : se loger, manger, se soigner et se transporter, le plus gratuitement et le plus écologiquement possible.
Avec 12 m² de jardin biologique et de plantes aromatiques et médicinales, l’eau chaude (solaire thermique) et froide (récupération d’eau de pluie, phyto-épuration), les énergies solaires (électricité, séchoir, cuiseur), un poêle à sciure et huile, une culture de spiruline et des graines germées pour les protéines, l’huilerie pour le moteur, les toilettes sèches,… ce kiosque n’est pas une fin en soi, mais un début d’apprentissage de l’autonomie.
Il est un point de rencontres et d’échanges de solutions concrètes, un lieu de convivialité où partagger des savoir-faire face à la destruction progressive de l’écosystème et à la pétrification des rapports sociaux.
